La visite du site du barrage de Ouéssa dans le village de Dianlé commune de Ouéssa ce jeudi 7 février 2018 dans la Région du Sud-ouest, a permis au Ministre de l'Eau et de l'Assainissement Niouga Ambroise OUEDRAOGO d'apprécier l'état d'avancement des études en cours.
Le projet d'aménagement hydroélectrique et hydroagricole de Ouéssa est retenu comme un investissement structurant dans le cadre de la mise en oeuvre du PNDES et constitue une promesse de campagne du Président Roch Marc Christian KABORE. A cet effet le Ministre a insisté sur la nécessité de tout mettre en oeuvre pour finaliser les études en cours en vue d'entamer les travaux dans les meilleurs délais."les études techniques de faisabilité et d'exécution en cours permettront à mon département de disposer de données plus actuelles et précises sur les caractéristiques et les impacts réels du barrage sur son environnement " a souligné le Ministre OUEDRAOGO.
D'ores et déjà, les premiers résultats des études ont montré que réaliser un barrage de 4 milliards de mètre cube ( comme l'ont conclu les études sommaires antérieures réalisées en 1981 par le bureau d'études GERSAR, en 1994 par EDF et en 2013 par la firme indienne Angélique ) aura des conséquences néfastes sur les vannes de Léry dans le Sourou, les infrastructures stratégiques comme la voie ferrée, la route nationale numéro 1, la future autoroute Ouaga-Bobo.
Pourtant ce projet a été initié en vue de contribuer à accroître les capacités de production hydroélectrique, agricole, pastorale et piscicole du pays et au développement économique et social durable des populations de la zone du projet.
Le projet d'aménagement hydroélectrique et hydroagricole de Ouéssa est retenu comme un investissement structurant dans le cadre de la mise en oeuvre du PNDES et constitue une promesse de campagne du Président Roch Marc Christian KABORE. A cet effet le Ministre a insisté sur la nécessité de tout mettre en oeuvre pour finaliser les études en cours en vue d'entamer les travaux dans les meilleurs délais."les études techniques de faisabilité et d'exécution en cours permettront à mon département de disposer de données plus actuelles et précises sur les caractéristiques et les impacts réels du barrage sur son environnement " a souligné le Ministre OUEDRAOGO.
D'ores et déjà, les premiers résultats des études ont montré que réaliser un barrage de 4 milliards de mètre cube ( comme l'ont conclu les études sommaires antérieures réalisées en 1981 par le bureau d'études GERSAR, en 1994 par EDF et en 2013 par la firme indienne Angélique ) aura des conséquences néfastes sur les vannes de Léry dans le Sourou, les infrastructures stratégiques comme la voie ferrée, la route nationale numéro 1, la future autoroute Ouaga-Bobo.
Pourtant ce projet a été initié en vue de contribuer à accroître les capacités de production hydroélectrique, agricole, pastorale et piscicole du pays et au développement économique et social durable des populations de la zone du projet.
