SITUATION DE REMPLISSAGE DES RETENUES D’EAU AU 20 SEPTEMBRE 2019
La situation de remplissage des retenues d’eau suivies par le Service Hydrologique National à la date du 20 septembre 2019 se présente de la façon suivante :
Par rapport à la situation de 2018 à la même date:
les volumes enregistrés aux barrages de Toussiana dans le bassin versant de la Comoé, du Lac Bam dans le bassin versant du Nakanbé, de Vy dans la bassin versant du Mouhoun, de Seytenga et de la Tapoa dans le bassin versant du Niger sont excédentaires (niveau de remplissage supérieur à celui de l’année précédente à la même période) avec un excédent de remplissage allant de 30 milles m3 (Barrage de Toussiana) à 4,90 millions de m3 (Barrage de Seytenga);
Les informations relative à la hauteur d’eau du barrage de Liptougou dans le bassin versant du Niger ne sont pas disponible à la date du 20/09/2018 (le lecteur était injoignable) .
Le volume enregistré au barrage deBagré ; de Kompienga ; de Ziga ; de Loumbila ; de Ouaga(2+3) ; de Titao ; de Ouhigouyaya ; de Séguenega ; de Louda ; de Goinré ; de Dourou et de Tougou dans le bassin versant du Nakanbé, de Moussodougou et Lobi dans le bassin versant de la Comoé, de Yaran (sourou) dans le bassin versant du Mouhoun, accusent quant à eux un déficit de remplissage (niveau inférieur à celui de l’année précédente à la même période) allant de 110 milles m3 (Barrage de Séguenega) à 238,72 millions de m3 (barrage de Kompienga).
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AGREMENTS TECHNIQUES 2013
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AGREMENTS TECHNIQUES 2014
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AGREMENTS TECHNIQUES 2015
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AGREMENTS TECHNIQUES 2016
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AGREMENT TECHNIQUES 2017
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AGREMENTS TECHNIQUES 2018
Synthèse du suivi des ressources en eau Année 2017
Les ressources en eau constituent un levier indispensable du développement socio-économique de notre pays. En sus des besoins domestiques et écologiques, les principaux secteurs de notre économie tels que l’agriculture, l’élevage et l’industrie reposent avant tout sur la disponibilité de cette ressource. Cependant, le contexte hydro climatiquecaractérisé par un régime tropical sec et des bassins hydrographiques exoréiques fait que cette ressource est rare et très limitée. L’observation du régime hydrique dans les quatre bassins hydrologiques que sont la Comoé, le Mouhoun, le Nakanbé et le Niger indique une tendance à la baisse drastique des volumes d’eau.
De plus, la géologieconstituée de socle sur plus de 80 % du territoire,confère une faible capacité de stockage en eau souterraine sur une bonne partie du pays. Au niveau des aquifères, on observe une baisse tendancielle des niveaux piézométriques
Ce contexte, exacerbé par les effets néfastes des changements climatiques et des besoins en perpétuelle croissance consécutive à la forte pression démographique, place les ressources en eau du Burkina dans une situation de vulnérabilitéassez préoccupante.
La présente publication mensuelle de la Direction Générale des Ressources en Eau (DGRE) intitulée « Bulletin hydrologique mensuel» comprend deux parties essentielles.
Synthèse du suivi des ressources en eau Année 2017
Les ressources en eau constituent un levier indispensable du développement socio-économique de notre pays. En sus des besoins domestiques et écologiques, les principaux secteurs de notre économie tels que l’agriculture, l’élevage et l’industrie reposent avant tout sur la disponibilité de cette ressource. Cependant, le contexte hydro climatiquecaractérisé par un régime tropical sec et des bassins hydrographiques exoréiques fait que cette ressource est rare et très limitée. L’observation du régime hydrique dans les quatre bassins hydrologiques que sont la Comoé, le Mouhoun, le Nakanbé et le Niger indique une tendance à la baisse drastique des volumes d’eau.
De plus, la géologieconstituée de socle sur plus de 80 % du territoire,confère une faible capacité de stockage en eau souterraine sur une bonne partie du pays. Au niveau des aquifères, on observe une baisse tendancielle des niveaux piézométriques
Ce contexte, exacerbé par les effets néfastes des changements climatiques et des besoins en perpétuelle croissance consécutive à la forte pression démographique, place les ressources en eau du Burkina dans une situation de vulnérabilitéassez préoccupante.